QU'EST-CE QU'UN VACCIN ?
LE PRINCIPE DES VACCINS
Combattre le mal par le mal. Connu depuis l'antiquité, le principe de la vaccination consiste à mettre en contact l'organisme avec de très faibles doses de virus ou de bactéries de manière à le protéger contre toute attaque future de ces agents pathogènes.
Les vaccins ne datent pas d'hier. Déjà avant notre ère, les Chinois s'essayaient à combattre la variole, en innoculant à des personnes saines des broyats de pustules de malades qui souffraient d'une variole bénigne.
Mais c'es à la fin du siècle dernier que la vaccination fut vraiment comprise, avec les travaux d'Edward Jenner et Louis Pasteur.
LES CELLULES MEMOIRES
Comment l'immunité contre telle ou telle maladie se développe-t-elle ? Notre système immunitaire a de la mémoire : lorsqu'il est confronté pour la première fois à un agent pathogène, c'est-à-dire à un virus ou une bactérie, l'organisme réagit en spécialisant certaines cellules pour produire des anticorps spécifiques contre cet agent.
Ces cellules "mémoires" seront stockées pendant des années dans notre corps, et réactivées rapidement au moindre contact avec le pathogène. En accélérant et renforçant des mécanismes de défense spécifiques. Ce qui permet à l'organisme d'éliminer rapidement l'intrus avant de développer la maladie.
En 2000 ans les techniques ont quelque peu évolué, et les apports récents de la génétique et de la biologie moléculaire ont permis de combattre de nouvelles maladies. Il existe trois grandes familles de vaccins : les vaccins atténués, les vaccins inactivés et ceux issus du génie génétique.
FABRICATION D'UN VACCIN
Les vaccins atténués sont fabriqués à partir de bactéries ou de virus vivants que l'on a fait muter pour qu'ils perdent leur caractères infectieux. Mais pas leur caractère antigénique, c'est-à-dire leur rôle de déclancheur de la production de cellules "mémoires".
L'organisme se constitue donc un stock d'anticorps dont il se servira quand il entrera en contact avec les bactéries ou les virus sauvages (naturels).
Le vaccin oral contre la poliomyélite, par exemple, est obtenu par passage successif du virus en culture de cellules et chez des animaux. Ce qui induit des mutations, et donc l'atténuation.
Après administration par simple voie orale, l'organisme développe les anticorps nécessaires à l'immunisation contre la maladie.
Près de la moitié des Français sont hésitants devant les vaccins, doutant de leur innocuité ou de leur efficacité.
Ce livre nous rappelle le monde d’avant les vaccins, il n’y a pas même un siècle : le coût humain de la diphtérie, de la poliomyélite, de la tuberculose, de la rougeole et de la grippe espagnole.
Grâce aux vaccins et aux antibiotiques, l’acceptation passive de ces fléaux épidémiques, qui tuaient 15% des enfants dans leur première année en 1900, a fait place à une protection mondiale contre les principales maladies infectieuses.
Mais cette protection globale est menacée par l’actuelle défiance vis-à-vis des vaccins, et par la prolifération de bactéries résistantes aux antibiotiques.
Philippe Sansonetti, dans ce livre, se fait l’ardent défenseur d’une stratégie de prévention qui a fait ses preuves.
Un cri d’alarme puissamment argumenté.
Un livre exceptionnel qui conjugue la science, la connaissance et le talent littéraire.
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Les vaccins pour tous : non ! répond le professeur Joyeux.
Les récentes polémiques à propos de la vaccination généralisée contre la grippe, celle des filles et des garçons de 9 ans contre les papillomavirus (responsables des cancers du col de l'utérus et ORL), la disparition du classique DT-Polio au profit d'un vaccin à valences multiples sept fois plus cher, ont remis le débat au centre des préoccupations.
Le professeur Joyeux veut ici aider les familles à s'y retrouver dans la jungle des multiples vaccins proposés, entretenue par les puissants intérêts des laboratoires pharmaceutiques internationaux, les politiques qui se croient experts de santé, et les médecins hyperspécialisés qui veulent imposer leurs vues.
La vaccination est un acte médical à revaloriser, qui n'est pas sans aucun danger à court, moyen et long terme chez les personnes en bonne santé.
Cet ouvrage aidera chaque famille à discerner le vrai du faux et à choisir le meilleur pour ses enfants ; les uns ont vraiment besoin d'être vaccinés contre certaines maladies infectieuses, les autres ont seulement besoin du minimum obligatoire : le DTP sans adjuvant. Il permettra également de comprendre le merveilleux fonctionnement des défenses immunitaires, sans oublier le rôle du lait maternel, le meilleur vaccin du nouveau-né.
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Vaccins : Comment s'y retrouver ?
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Les vaccinations font tellement partie intégrante de la vie moderne qu'il paraît indécent de se poser la moindre question à leur sujet. En dépit d'un calendrier vaccinal démesuré, seules trois vaccinations sont obligatoires, mais beaucoup d'entre nous se laissent influencer par la pression sociale et médiatique. Il reste bien peu de place pour une information objective. Ces dernières années ont connu plusieurs scandales retentissants : le sang contaminé, la vache folle, l'hormone de croissance, le Mediator,... toutes les catastrophes que l'on a voulu longtemps ignorer. À chaque fois, promis, juré, cela ne se reproduira plus. Il y aura pourtant bientôt un scandale vaccinal si nous continuons à nous soumettre au diktat de l'industrie pharmaceutique, si les autorités sanitaires persistent à ignorer les victimes et à ne pas vouloir mettre en place une vaccinovigilance digne de ce nom. La santé publique s'est progressivement améliorée avec les progrès de l'hygiène et de l'élévation du niveau de vie. Le rôle majeur attribué aux vaccinations dans la régression des maladies infectieuses est tout à fait contestable. De plus, les vaccins ont entraîné un cortège de souffrances en raison de leurs effets indésirables parfois graves. Le rapport bénéfices/risques paraît bien mince. Enfin, ces campagnes de vaccinations ont un coût pour la collectivité, et le rapport coût/bénéfice est loin du niveau escompté. Cet ouvrage, fort bien documenté, relance ouvertement le débat.
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L'apport des vaccinations à la santé publique
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"La collection « Vaccins & Société » accompagne les familles et les médecins dans leur compréhension des enjeux de la vaccination.
Vacciner un nourrisson de quelques semaines exige rigueur et prudence. Où trouver une information fiable ?
Ce Livre 4 apporte une analyse scientifique des vaccins contre la coqueluche et l’hépatite B.
Très contestés, ils sont présents dans les vaccins hexavalents. Ces derniers combinent six vaccins dans une même seringue dont les trois du DTP retirés du marché pour leur toxicité.
De façon générale, la protection communautaire et l’efficacité clinique de ces vaccins ne sont pas établies, alors que de multiples effets indésirables sont rapportés.
Par ses analyses précises et sa large documentation, cet ouvrage suggère que la balance bénéfice/risque de ces vaccins, notamment les hexavalents, n’est pas favorable.
À la fois exigeant et concis, ce livre appelle à un réexamen urgent des principes de la vaccination des nourrissons."
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Les vaccins du nourrisson - Coqueluche - Hépatite B et les vaccins hexavalentsAjouter un commentaire